Il ne s’agissait pas d’une conséquente démarche. Pas d’un notion intérieur nourri depuis des semaines. Juste une peine, une tension, une variable d’interrogation trop de nombreuses années repoussé. Et ce soir-là, dans la sérénité d’une ainargentage familière, un principe nettoyé : estimer en empruntant une autre voie. Pas à co
La fric semblait désormais marquer seule. Le objectif des murs, patiné par les ages, conservait une tiédeur étrange, notamment s’il absorbait l’écho des présences léguées. Les oracles oscillaient à des rythmes que seule Alžbeta savait décodifier. Chaque jour, elle observait les naissantes harmonies monter : un pendule s’arrêtait d
En l’année 1851, au cœur de l’Empire austro-hongrois, dans un seul village perdu entre avenues et forêts, un horloger du patronyme de Jakob Müller vivait reclus dans une bâtisse de pierre et de cuivre. Artisan obsessionnel, il avait passé deux décennies à produire une devise propre en son genre : un sanctuaire mécanique, une chambrée
le jardin intérieur - Les évènements s’écoulèrent dans une tranquillité nouvelle. La préhistorique domicile, jadis prisonnière d’ombres et de murmures, laissait dès maintenant circuler la lumière par ses bijoux. Les plantes placées par Madeleine s’épanouissaient dans les arrondissements dans les temps anciens mauvaises, à savoir
la nuit de l’épreuve - Aux douze coups de minuit, un silence de plomb descendit sur la patriarcale bâtisse, comme par exemple si les siècles lui-même s’était suspendu. Les feux des bougies vacillèrent un instant, puis se figèrent dans une étrange immobilité. L’obscurité de la indice lune pesait si lourdement que l’on peinait à in